ACTUALITÉS / Conflits

Le président américain Donald Trump a lancé un ultimatum à la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine sous peine de nouvelles sanctions.

Suicides, meurtres, chutes ou accidents : la liste suspecte des morts étranges autour de Poutine s'allonge avec le décès de son ancien ministre des transports.

Il y a 30 ans, jour pour jour, le 11 juillet 1995, le massacre de Srebrenica, en Bosnie, se déroulait sous les yeux d'une Europe impuissante.

Le président des États-Unis, Donald Trump, a affirmé qu’il n’avait réalisé aucun progrès avec Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine, tandis que le Kremlin a insisté sur le fait que le président russe resterait fidèle à ses objectifs dans le conflit.

La Corée du Nord prévoit de contribuer à l’effort de guerre russe en envoyant entre 25 000 et 30 000 soldats supplémentaires dans les prochains mois, selon des sources anonymes ukrainiennes citées par la chaîne américaine CNN.

La Maison Blanche a confirmé la suspension par Washington de l’envoi de certaines armes à l’Ukraine

Le festival de Glastonbury, en Grande-Bretagne, est l’un des événements musicaux les plus connus au monde. Mais malgré ses 125 scènes et plusieurs centaines d’artistes, la véritable vedette du spectacle cette année a été la politique et les conflits

Le chef de la diplomatie allemande, Johann Wadephul, a affirmé que le président russe Vladimir Poutine veut imposer sa volonté à l’Ukraine sans aucune véritable volonté de négocier.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a averti qu’il est impossible de forcer la Russie à négocier, dans une interview relayée sur Telegram par Pavel Zaroubine, le présentateur de l’émission télévisée "Moscou. Kremlin. Poutine."

Les mémorandums russe et ukrainien, qui présentent la vision de Moscou et de Kiev sur la voie à suivre pour parvenir à la paix, sont diamétralement opposés, a déclaré le président russe, Vladimir Poutine.

La Slovaquie va opposer son veto au nouveau paquet de sanctions de l’Union européenne (UE) contre la Russie, soumis au vote ce vendredi, à Bruxelles, estimant que sa demande de modification d’un acte législatif visant à interdire totalement l’acheminement de gaz russe vers l’Europe à partir du 1er janvier 2028 a été ignorée.

Le Kremlin a affirmé aujourd’hui qu’il n’acceptera pas "une paix imposée par la force" en Ukraine