Avec le décès du pape François, s'ouvre la période de conclave pour élire le nouveau pape. Et l'on évoque déjà certains noms.
Ils sont cinq qui sont souvent cités pour devenir le nouveau pape.
A commencer par le cardinal italien Pietro Parolin, secrétaire d'État du Vatican, apparaît comme un personnage central et un favori. Sa vaste expérience diplomatique et son rôle dans l'administration du Saint-Siège lui confèrent un profil d'homme d'État, capable de naviguer dans les complexités du monde contemporain.
Dans les candidats italiens on évoque aussi Matteo Zuppi, archevêque de Bologne, représente un courant pastoral axé sur la justice sociale. Son attention aux plus vulnérables et son appel à la solidarité trouvent un écho auprès de ceux qui recherchent une Église engagée dans les défis du présent.
On cite aussi Peter Erdő, l'archevêque de Budapest porte une importante formation théologique et une expérience du dialogue œcuménique.Son leadership dans les événements internationaux et sa capacité à construire des ponts entre les différentes confessions font de lui un candidat au profil intellectuel et diplomatique.
Le cardinal Peter Turkson du Ghana, pourrait être le défenseur de la justice sociale et du développement durable. Sa voix résonne sur les questions d'écologie, de pauvreté et de droits de l'homme, ce qui constitue une option pour ceux qui souhaitent un pontificat axé sur la doctrine sociale de l'Église.
Enfin, du côté des conservateurs, le cardinal américain Raymond Leo Burke a critiqué les réformes de François. Sa position traditionaliste et l'importance qu'il accorde à la doctrine pourraient séduire ceux qui souhaitent un retour à une Église plus rigide. C'est le favori de Donald Trump.
(MaSi - Source : Agence - Photo : © Unsplash)
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