Le journaling, on connaît ! Écrire ses pensées, les bons moments de sa journée, ses objectifs… Le choix ne manque pas. Mais le junk journaling, c’est nouveau et, comme souvent, ça s’est popularisé sur les réseaux.
Mélange entre carnet de souvenirs et mood-board, le junk journal est une alternative colorée et déstructurée au classique journal intime. Dans un carnet, il s’agit de coller tout ce qui compte, un ticket de cinéma, un petit mot doux, une phrase inspirante… Une paire de ciseaux, de la colle et une soirée de libre : le programme est tentant !
Permettant d’affirmer sa créativité, ce nouveau genre de journal séduit les plus jeunes, mais aussi leurs parents, déjà rodés au "scrapbooking" et autres loisirs créatifs. Chaos organisé, tout y passe, surtout ce qu’habituellement vous auriez jeté à la poubelle (d’où le 'junk' qui signifie poubelle en anglais). Vous voilà avec un carnet qui vous ressemble entre souvenirs, création et introspection. Et c’est plutôt thérapeutique puisque vous vous offrez une vraie pause, loin d’autre sollicitations.
Pour commencer, il vous faut d’abord trouver votre carnet, recyclé, fraîchement acheté ou fabriqué par vos soins. Collectez ensuite ce qui vous inspire, ce qui vous rappelle un bon moment… Ce qu’avant vous auriez jeté mais que vous regardez maintenant d’un œil nouveau. Ensuite, assemblez le tout, laissez votre inspiration décider et oubliez toute envie de perfection ; votre "junk journal" sera à votre image : unique et certainement imparfait. Vous pouvez vous aventurer dans une thèmatique, voyage par exemple (celui que vous venez de vivre ou celui dont vous rêvez) ou encore un journal de souvenirs dans lequel vous collez, au quotidien, ces petites choses dont vous voulez vous rappeler.
Et si vous faisiez de vos petits riens de beaux souvenirs en tenant votre junk journal ?
(Céline Massart - Photo : © FreePik)
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