Jeudi, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Kazem Gharibabadi a averti que “toutes les options nécessaires sont sur la table”.
Une déclaration qui arrive en réponse aux nouvelles menaces américaines d'action militaire, et notamment de frappes directes sur le sol iranien.
En effet, Donald Trump a récemment menacé de lancer des frappes contre l'Iran, mais a depuis fait machine arrière et annoncé une pause de deux semaines pour évaluer la situation et déterminer la marche à suivre.
M. Gharibabadi a déclaré : "Si les États-Unis veulent intervenir activement pour soutenir Isra.ël, l'Iran n'aura d'autre choix que d'utiliser ses outils pour donner une leçon aux agresseurs et se défendre. Nos décideurs militaires ont toutes les options nécessaires sur la table", rapporte l'agence de presse russe TASS, citant des médias iraniens. “Notre recommandation aux États-Unis est d'au moins rester en retrait s'ils ne souhaitent pas mettre fin à l'agression isra.élienne”, a-t-il ajouté.
Les blessés s’accumulent
Jeudi, l'Iran a frappé le centre médical Soroka dans la ville de Beersheba, dans le sud d'Isra.ël, faisant 71 blessés, selon les autorités locales.
L'Iran n'a pas communiqué le nombre de ses victimes, mais des responsables ont confirmé que le réacteur à eau lourde d'Arak avait été touché par les tirs de représailles isra.éliens.
(Manon Pierre avec QG - Source : Newsweek / BBC - Image : © Unsplash)
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